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Toujours sur le thème du vide, certains enfants ont imaginé des paysages vides des hommes qu'on aurait pu y rencontrer : ces paysages ont un côté inquiétant parfois, mais, ne pouvant se résoudre au vide total du vivant, ils y ont mis des oiseaux et des papillons, même un dromadaire !
Elie, 6 ans
Fatou Marie, 10 ans
Jeanne, 6 ans
jeanne, 10 ans
Lucie, 6 ans
C'était le mot qu'il fallait prendre en compte ce matin : se trouver face au vide. 
Bastien, 10 ans
Gwalic, 9 ans
Nausicaa, 9 ans
Morgane, 11 ans
Lucie, 9 ans
Des boîtes vides :
Clémentine, 7 ans
Mélissa, 6 ans
Des flacons vides, une bourse vide, des assiettes vides :
Solen,10 ans
Lude, 10 ans
Manon, 8 ans
Un aquarium vide de ses poissons, Salomé, 9 ans
Une poubelle vidée de ses ordures, Izia, 10 ans
Le puits est vide, Grégoire, 6 ans
Ce puits est vide aussi, Solen,10 ans
Les frigos sont vides ainsi que les tiroirs, l'écran de l'ordinateur...
Des ombres d'oiseaux, d'un objet non identifié posé sur une table, de maisons, d'un tigre dans la forêt et qui est le seul être vivant à avoir une ombre...
Elie, 6 ans
Bastien, 10 ans
jeanne, 6 ans
Margot, 7 ans
Solen, 10 ans
Lude, 10 ans
Des ombres sur un visage ou un soleil :
Mélissa, 6 ans
Il fallait peindre, à la gouache, sur le dos d'échantillons de papier peint, l'ombre et, par conséquent, la lumière. C'était la première peinture pour les plus petits et c'était difficile.
L'ombre du diable dans la lumière du réverbère, Grégoire, 6 ans
L'ombre lourde de l'oiseau, Jeanne, 10 ans
La lumière du phare dans l'ombre de la nuit, Nausicaa, 9 ans
L'ombre du voleur et de sa victime dans le lumières croisées de la lune et du réverbère, Gwalic, 9 ans
L'ombre des oiseaux sur l'eau, Morgane, 11 ans
Voilà les premiers dessins d'une toute petite écolière de trois ans : Eléa.
Des bonhommes, on ne sait pas ce qu'ils font.
Une belle page d'écriture.
"Femme nue, femme noire
Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté
J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux
Et voilà qu'au coeur de l'Eté et de Midi,
Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné
Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle
Femme nue, femme obscure..."
Ce sont les premières lignes d'un poème du grand poète africain : Léopold Sedar Senghor. Ce matin, sur un bristol de 30cm/50cm, avec des craies à l'huile, il fallait faire le portrait de cette femme nue et noire.
Clémentine, 7 ans
Marie, 9 ans
Elie, 6 ans
Solen, 10 ans
Jeanne, 6 ans
Izia, 10 ans
D'autres femmes nues dans l'album 24